L’assemblée générale ordinaire de l’association les Amis du Musée de CHEVAU se tiendra le Jeudi 25 avril 2019 à 16h00 à l’usine de CHEVAU (Salle du Showroom). Il y sera présentés le rapport moral et le bilan financier 2017 et 2018 ainsi que le budget et les perspectives 2019.
Richard
80 ans du site de CHEVAU
Il y a 80 ans, en 1938, Edgar Brandt faisait acquisition d’un vaste terrain à La Ferté Saint Aubin pour y installer, quelques mois plus tard, la Société Industrielle d’Explosifs et de Mécanique, baptisée du nom de son lieu-dit, « Usine de Chevau ».
36-38 rue de la Goutte d’Or, Paris
L’actualité récente à mis un coup de projecteur sur le commissariat de police installé au 34 rue de la Goutte d’Or dans le 18ème Arrondissement de Paris. De son coté l’association connait bien cette adresse mais pour d’autres raisons…
Visite du président Denis RANQUE au musée de CHEVAU
Le 17 mars 2008, Denis RANQUE, président du Groupe THALES, n’a pas manqué de rendre visite à notre musée lors de sa visite du site de CHEVAU. Benoît CLEMENT, président de l’association du musée, lui a présenté les collections en compagnie de Guy LEFEBVRE, président de TDA Armements.
Étymologie de l’usine de CHEVAU par Jacques PONS
La couverture du livret du cinquantenaire en 1988 arborait un superbe équidé. Michel PETIT, membre de l’association, a voulu en savoir plus sur l’origine étymologique du patronyme de l’usine et nous a transmis ce texte de Jacques PONS.
Edgar BRANDT promu Commandeur de la Légion d’honneur
Pour l’œuvre de sa vie, Monsieur Edgar BRANDT est promu au grade de Commandeur dans l’Ordre national de la Légion d’honneur par décret du 27 septembre 1957.
Brandt Reine 1950
Au Salon de l’automobile de Paris d’octobre 1948, Jules BRANDT présenta une automobile baptisée “Reine 1950”. Ce modèle fut présenté également en 1949 sous une forme pratiquement identique. Ce véhicule révolutionnaire était le résultat de 15 années de travaux et Jules se plaisait à dire que dans sa voiture il n‘y avait pas une seule pièce, pas un seul détail qu’il n’eût inventé et réalisé.
Sabotage de l’usine au départ de l’Occupant
L’usine a été sabotée par l’occupant Allemands à son départ le 16 août 1944. Les dégâts furent estimés à 13,5 millions de francs de l’époque de matériels détruit (munitions) sans compter les dégâts subis par les bâtiments. Aucune victime concernant le personnel ne fut à déplorer.
Bombardements et mitraillages de l’usine par les Alliés
L’usine fut soumise à des bombardements et mitraillages d’avril à aout 1944 (Libération d’Orléans le 16 aout). Les bombardements les plus important eurent lieu les 23 juin et 4 août 1944.
Procès de Riom
Le procès de Riom s’est déroulé durant la Seconde Guerre mondiale après dix-huit mois d’instruction du 19 février au 14 avril 1942 dans la ville de Riom, (Puy-de-Dôme). Poursuivre la lecture
Occupation de l’usine
Les troupes Allemandes occupent l’usine entre le 18 juin 1940 et le 16 aout 1944. L’usine avait été répertoriée durant la période 1938-1940, par les Renseignements Allemands, et faisait partie de leurs dossiers d’objectifs « industries d’armement, poudreries, arsenaux et dépôts de munitions ». Signalons qu’à la veille de la déclaration de Guerre, une nouvelle unité de fabrication MESSNER (fulminaterie et azoturerie), achetée en Allemagne en 1937-1938 était opérationnelle (dès août 1939).