Le 28 janvier 1918, Edgar BRANDT est grièvement blessé au cours d’une démonstration pour le Grand Quartier Général.
« A signaler comme exemple pour chacun de nous :
Edgar BRANDT ne perdait jamais son temps, son courage, ses espoirs, sa confiance en lui. Ainsi pendant sa convalescence de ses blessures de 1918 (54 éclats !), il dressa à Béziers des chiens pour porter aux poilus terrés dans des trous des cartouches Lebel de 8mm. Ce genre de ravitaillement évitait à des hommes de se faire tuer en tentant d’apporter à leurs camarades de combat des cartouches… »
François BRANDT, extrait d’une lettre du 28 juillet 2002.
Remerciements
François.
Sources
Correspondance privée entre Monsieur François BRANDT et les membres de l’association.