L’usine fut soumise à des bombardements et mitraillages d’avril à aout 1944 (Libération d’Orléans le 16 aout).
Les bombardements les plus important eurent lieu les 23 juin et 4 août 1944.
En cas d’alerte annoncée par sirène, le personnel quittait les ateliers pour les abris disséminés un peu partout et permettant la mise en protection. A notre connaissance, il n’y eut pas de victimes.
Sources
AAMC